Association Française de Sociologie réseau thématique 31 - Tag - Football - CommentairesAssociation Française de Sociologie réseau thématique 312015-09-01T14:11:36+02:00urn:md5:be7caa8dfa753e48ccb3228028ea71fbDotclearLes instances de formation dans le football professionnel français : quelle(s) logique(s) de fonctionnement ? - Philippe Terralurn:md5:5bf6d81ae87b5d4bf6ffa1fa7704bc552009-05-11T16:13:43+02:002009-05-11T17:13:43+02:00Philippe Terral<p class="spip">
Merci pour ce texte qui propose un questionnement intéressant visant à
déconstruire les « idées reçues » en matière de formation des
footballeurs professionnels.
Mes remarques et questionnements concernent essentiellement trois
points :
<br /><img class="spip_puce" src="http://netx.u-paris10.fr/afsrt31/puce.gif" alt="-" border="0" /> Votre
analyse ne tend elle pas à surdéterminer les contraintes
institutionnelles s’exerçant sur la formation des footballeurs
professionnels en éludant ainsi les effets d’autres instances (familles,
amis, ...) ?
<br /><img class="spip_puce" src="http://netx.u-paris10.fr/afsrt31/puce.gif" alt="-" border="0" /> La
lecture du texte donne l’impression que vous « courrez plusieurs
lièvres à la fois ». Plus précisément, il me semble que deux questions
de départs (dont on ne saisit pas bien le lien ni le cadre d’analyse
permettant de les appréhender simultanément) organisent votre étude :
Comment sont formés les footballeurs professionnels ? et, je vous cite,
« Dès lors, pourquoi assiste-t-on à une telle multiplication des
structures ? »
<br /><img class="spip_puce" src="http://netx.u-paris10.fr/afsrt31/puce.gif" alt="-" border="0" /> Concernant
votre cadre théorique, je n’ai pu parvenir à identifier clairement les
concepts centraux de l’analyse. Vous parlez de « rites d’institution »,
de « dispositifs », de « dispositions », de « carrière » sans que ces
notions ne soient réellement précisées et reliées entre elles. A ce
sujet, ne serait-il d’ailleurs peut-être intéressant de positionner vos
travaux au regard des recherches menées sur la formation des sportifs
professionnels ou plus globalement des professionnels du sport (je pense
notamment aux travaux de V.Chevalier, B.Papin, D. Bernardeau-Moreau,
J.Bertrand, F.Le Mancq, L.Gojard, ...) ?</p>
<p class="spip">Cordialement.
Philippe TERRAL</p>LES « VIOLENCES SPORTIVES » : LE « BEAU CAS » DU FOOTBALL COMME PRATIQUES ET PRATIQUES DE SPECTACLE - Philippe Terralurn:md5:68e7058ec3fa41011992ee972836a2d62007-01-11T15:33:36+01:002007-01-11T16:33:36+01:00Philippe Terral<p class="spip">
Avec beaucoup trop de retard, veuillez m’en excuser, je rappelle ici
quelques idées émises à l’oral puisque j’ai eu la chance d’amorcer la
discussion sur le texte de William Nuytens.</p>
<p class="spip">Les éléments de discussion que j’ai été amené à faire
valoir renvoient essentiellement à des demandes de précisions et peuvent
être rassemblés autour de 2 points :
<br /><img class="spip_puce" src="http://netx.u-paris10.fr/afsrt31/puce.gif" alt="-" border="0" />
L’article, qui se présente comme une réflexion autour des cadres
d’analyse des relations entre sport et violence évoque à plusieurs
reprises la complexité d’un tel objet. Comme le dit William Nuytens, les
questions de violence appellent des analyses de différentes natures
(biologiques, psychologiques, sociologiques). Il est d’ailleurs
mentionné dans le texte que cet objet est peut-être « moins sociologique
que psychologique ». De telles réflexions m’ont amené à interroger
William sur sa perception des frontières entre psychologie et
sociologie. Comment l’objet qu’il investit l’amène-t-il à appréhender
cette démarcation à l’heure où certains sociologues disent mener une
« sociologie psychologique » ?
<br /><img class="spip_puce" src="http://netx.u-paris10.fr/afsrt31/puce.gif" alt="-" border="0" />
Pour mieux appréhender cet objet complexe que sont les relations entre
sport et violence, le texte propose également de se focaliser sur
l’étude de cas concrets. Le papier reste toutefois assez flou sur les
modalités d’investigation permettant de se situer « au plus prêt des
situations ». Il n’évoque par ailleurs pas les traditions sociologiques
pouvant permettre de cadrer l’objet. Quel serait par exemple l’apport
des sociologies interactionnistes ?
En espérant peut-être poursuivre cet échange ici ou ailleurs et en te
remerciant de ta contribution.
Bien Cordialement.
Philippe Terral</p>